L'être humain : un labyrinthe
C'est pour cette raison qu'une fin d'analyse aboutit à conclure, qu'une analyse reste unique, parcequ'elle relève du particulier.
Comme les empreintes digitales et les traces d'A.D.N. confirment le caractère unique de l'être humain.
Le désir, quant à lui n'est pas attaché au sujet comme attribut, mais comme lui préexistant lors de sa constitution, après le refoulement originaire.
Mais cet inconnu du désir vient constamment inquiéter le sujet, car il est un moteur dans la vie sociale.
Où me conduit-il ? " Que me veut l'Autre " ? Disait Jacques Lacan.
Il devient interpellatif en envahissant le sujet de traces mnésiques hallucinatoires.
Que ce dernier réprime ce discours interne, il est vite réintégré dans une voie, à son insu.
Le sujet serait-il programmé ?