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se comprendre pour comprendre les autres
8 août 2011

se comprendre pour comprendre les autres

La compréhension de soi-même est fondamentale pour comprendre les autres.

Elle passe par une analyse détaillée de l'Inconscient.

Même si ce dernier fait peur.

Mais en fait qu'est ce qu'on analyse là dedans ?

L'art de l'analyse doit être de suspendre les certitudes du sujet, jusqu'à ce que s'en consument les derniers mirages.

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Commentaires
B
Depuis le début, la Psychanalyse n'a cessé d'analyser les croyances, que leur livrent les analysants allongés sur le divan.<br /> Si chacune diffère sur leurs modalités,en général elles se ressemblent dans leurs finalités.<br /> Elles constituent une Quête permanente même si elle est illusoire.<br /> Mais cela n'est pas le problème.<br /> L'important est que ces quêtes soient libérées par les sujets grâce à la parole,et qu'elles s'inscrivent dans une chaîne logique de langage.<br /> Chacun y apporte sa contribution:vous,par exemple par le fait d'initier les gens au "lâcher prise",ou d'autres à la Philosophie.
F
"Notre difficulté à être présent vient principalement du fait que nous n'acceptons pas la réalité telle qu'elle est car nous ne voyons ni sa beauté, ni sa profondeur. Nous imaginons à tort que la vie telle que nous la réorchestrons est plus digne d'être vécue. Nous perdons ainsi une énergie considérable à vouloir transformer la réalité afin qu'elle corresponde à nos plans, à notre idéal, à nos croyances. Malheureusement, la réalité n'est pas faite pour se conformer à nos désirs. Aussi perdons-nous beaucoup de temps à ce travail absurde. C'est là la principale difficulté à vivre une vie plus fluide, où la réalité n'est plus figée par notre mental."<br /> <br /> <br /> Extrait de "Désirs, passions et spiritualité" de Daniel Odier.<br /> <br /> Nous en revenons toujours à la même chose, l'être humain crée sa propre souffrance par le simple fait de mettre des résistances aux évènements qui lui parviennent... plus l'être humain résiste à ce qui se passe, plus il souffre. Plus il lâche prise, mieux il s'accorde le droit au bonheur par l'acceptation de ce qui est. Si l'être humain bascule dans une situation psychotique, c'est par sa non acceptation de la réalité telle qu'elle est.<br /> <br /> La non acceptation de la réalité vient de sa part "ego"... l'acceptation vient de sa part "divine" et l'être humain a toujours le choix sur ça.<br /> <br /> Il n'est juste pas aisé de lui faire accepter ça quand toute la vie d'un individu a été conduite jusque là dans l'ignorance de cette réalité de par l'éducation, les influences familiales, religieuses etc.<br /> <br /> Si l'on par du postulat que tout est énergie, l'énergie générée par la rumination de pensées négatives, va renvoyer au sujet des évènements "extérieurs" négatifs (accidents, perte d'emploi etc.) malheureusement je crains que la psychanalyse ne peut accepter cette hypothèse qui lui paraitra farfelue... et pourtant heureusement... j'ai rencontré des astro-physiciens qui s'ouvrent grandement à cette croyance, car ils comprennent que tout est énergie et qu'il existe une loi d'action-réaction. En terme simple "donne toi de l'amour à toi même, le monde extérieur t'enverra des évènements positifs dans la vie" "Maltraite toi, l'Univers t'enverra ce que tu te donnes". Sans tenir compte des sagesses orientales, la bible a tenté de faire comprendre ça aux gens "Aide toi, le ciel t'aidera" simplement elle fut interprétée par des gens au service de leur ego.<br /> <br /> La psychanalyse ne tient pas compte (de ce que j'en sais) du pouvoir "Divin" de l'homme, à savoir que l'homme attire à lui les évènements qu'il génère par ses pensées et l'entretien dans un "rôle de victime" de ce qui lui arrive, non d'acteur-réalisateur. Tout simplement car pour moi ce n'est pas Erickson qui fait de l'ego-psychanalyse, mais bien la psychanalyse elle-même qui reproche à Erickson ce qu'elle a elle-même à se reprocher car il est plus facile de voir ce qu'on n'aime pas chez l'autre plutôt que chez soi.<br /> <br /> Mais vous me répondrez encore par de belles phrases issues d'un lexique psychanalyste... dommage, j'aimerais tant entendre parler le coeur de l'homme (ou de la femme)avec qui j'échange depuis quelque temps. Je vous l'ai déjà dit mais cette fois je m'arrête là, je vous ai dit que vous êtiez mon "Fudo-Myo-O", je viens de comprendre que vous me renvoyez l'image de mon propre ego qui cherche à apporter des preuves de ce qu'il avance. Mais je ne vous changerai pas Mr ou mme Bengana. Je vous souhaite un merveilleux chemin de vie, puissiez vous trouver le bonheur, sachez que le bonheur ne se trouve pas dans des livres de Psychanalyse à expliquer le pourquoi du comment, mais bien à l'intérieur de vous, si vous prenez la peine d'écouter la voix du Coeur, toute la connaissance du Monde est en vous... toutes les réponses, écoutez la voix du coeur, c'est tout ce qu'il y a à faire...<br /> Merci d'avoir été là pour me rappeler qu'on ne peut convaincre quelqu'un, que chacun doit faire son chemin, le vrai travail d'un thérapeute doit être de conduire quelqu'un à trouver son chemin lui même, le guider, trouver les réponses en lui, lui laisser faire ses choix, sans porter de jugement sur ses choix. Il n'y a pas de bons ou de mauvais comportements, car juger des choix, ou des comportements bons ou mauvais que fait une personne relève de l'ego.<br /> Voilà, maintenant c'est décidé je n'interviendrai plus sur votre site ou sur le mien tant que je verrai des réponses toutes faites issues de la psychanalyse. Si vous voulez être une encyclopédie vivante de la psychanalyse, je respecte votre choix mais "l'encyclopédie vivante Bengana de la psychanalyse" ne m'intéresse plus et je vous souhaite du fond du coeur de trouver tout le bonheur du monde !<br /> Namasté !
B
Jung qui au départ était freudien, comme au départ Freud était Charcotiste,se sont tous séparés les uns les autres, par rapport à une efficace psychopathologique psychanalytique.<br /> Qu'est-ce-à-dire?<br /> C'est à dire qu'ils étaient incapables d'expliquer pourquoi l'être humain pouvait basculer dans la situation psychotique.<br /> Incapables d'expliquer le paradigme de la souffrance humaine,un avatar catastrophique de la réponse que peut apporter un être humain aux interrogations qu'il porte en lui-même sur la possibilité de sa propre définition,indépendamment d'un regard étranger, d'une détermination autre,par laquelle il est incessamment dessaisi.<br /> Narcisse pleure de ne pouvoir s'aimer que dans la douleur de ne pouvoir s'étreindre, perpétuée dans sa division spéculaire.
F
(Extrait...)<br /> <br /> Le mérite de Jung est de ne pas jeter tout cela dans le grand sac du paranormal pour s’en débarrasser mais d’essayer rationnellement d’en rendre compte à partir d’une théorie de l’inconscient. Nous avons vu plus haut que le rêve, même personnel, n’est pas nécessairement tourné vers le passé, mais peut très bien porter une intention vers le futur. Ici le problème est plus délicat, puisqu'il ne s’agit plus seulement d’une intention vers un futur, mais d’une ligne d’événement dans la Nature. Jung suppose que dans le sommeil, dans le rêve, les frontières individuelles sont dissoutes. Dans le sommeil, je suis Tout, parce qu’il n’y a plus de « moi » qui se sépare du tout. La conscience d’unité est seule présente, sans la dualité de la veille. Il est possible qu’alors la corrélation infinie des événements viennent résonner dans l’inconscient du rêveur pour donner lieu à une production onirique, soit pour informer le sujet en rêve sur ce qui a lieu pendant qu’il dort (le papi à la valise), soit pour donner une prémonition d’une direction possible du futur (le banquier et l’ascenseur). Le sujet qui sort du rêve revient dans la dualité de la veille, dans la séparation, mais il a souvenir du rêve, il constate la résonance de l’unité de la Nature. Il est placé dans une compréhension de la Nature où le hasard est exclus, ou la coïncidence est une loi naturelle, parce que la Nature est une. Ainsi, ce que l’on range, dans ce registre, dans la catégorie fumeuse du paranormal, deviendrait ici un phénomène naturel et il y aurait dans la théorie de l’inconscient une possibilité de rendre compte rationnellement de choses qui passent pour occultes d’ordinaire. C’est une différence d’attitude nette entre Freud et Jung. Freud détestait le paranormal, c’est une des raisons pour lesquelles il avait abandonné l’hypnose. Jung est un esprit très ouvert qui ne craint pas de s’aventurer dans ce que la représentation scientifique classique considère comme irrationnel. Il le fait en scientifique, épris d’explication qui entend ne pas nier d’emblée des témoignages, même si cela pose des difficultés importantes. Il a souci de prendre au sérieux une expérience possible, mais assez peu courante il est vrai pour la plupart d’entre nous. Aujourd'hui, les vues de Jung intéressent beaucoup les physiciens chercheurs qui travaillent sur la théorie quantique. En effet, la théorie quantique postule l’existence d’un champ unifié d’où émergerait les particules élémentaires et au niveau du champ unifié, il semble nécessaire de postuler que la corrélation infinie des événements est présente. L’hypothèse qui émerge alors est que le champ unifié des physiciens et l’inconscient supra-personnel sont peut-être deux manières de se représenter une seule et même réalité, la pure Intelligence qui est sous-jacente à toute phénoménalité. (texte)<br /> <br /> * *<br /> *<br /> <br /> L’inconscient est un concept fourre-tout, c’est en réalité un nom que l’on met sur des expériences, des structures disparates et complexes qu’il faudrait distinguer et nommer séparément. Ce qui s’impose, c’est que l'interprétation des phénomènes inconscients ne peut pas se réduire à une seule lecture (celle de Freud). La complexité du psychisme est telle qu’il y a toujours place pour plusieurs interprétations. Il est tout de même étonnant que cette ouverture donnée par Jung à la psychanalyse n’ait pas reçu un accueil plus important auprès de l’université. Pourquoi mettre Freud dans la liste canonique des auteurs du programme de philosophie et pas Jung ? Jung a une culture philosophique autrement plus riche que celle de Freud et ses vues méritent d’être étudiées sérieusement. Il est aberrant que l’on réduise publiquement la notion d’inconscient à ce que Freud a pu en dire. Il est tout aussi aberrant de réduire la psychologie à la seule psychanalyse freudienne. A en croire les médias, et l’intelligentsia universitaire, on a trop souvent l’impression qu’en dehors de la psychanalyse freudienne, point de salut pour la psychologie. Au contraire dirons-nous : c’est quand on a enterré la dévotion à Freud que l’on découvre la grande richesse de la psychologie et en particulier, de la psychologie contemporaine.<br /> <br /> Enfin, ce qu’il ne faut jamais oublier, c’est que le terrain sur lequel le psychologue opère reste celui de la conscience. Jung le dit clairement : « La psychologie n’est pas une magie noire, c’est une science : celle de la conscience et de ses données, elle est aussi la science de l’inconscient, mais en second lieu seulement, car l’inconscient, n’est pas directement accessible, précisément parce qu’il est inconscient ».<br /> <br /> Source <br /> http://sergecar.perso.neuf.fr/cours/inconsc2.htm
F
Vous êtes donc un détracteur d'Erickson (qui était quand même psychanalyste aussi) mais je me doutais que vous alliez me répondre ça (c'est bien pour ça que je l'avais mis) les arguments que vous donnez sont ceux avancés par les opposants d'Erickson... c'est ce qu'on trouve dans les controverses sur Wikipédia...
se comprendre pour comprendre les autres
  • L'inconscient gouverne nos pensées et dirige nos actes, aboutissant à des déterminations dans nos quotidiens. Ce site est destiné à comprendre ce flux intersubjectif et transindividuel,grâce aux mathèmes,graphes et schémas lacaniens.
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